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      Extraits de presse

      (SELECTION)

       

      « 5 artistes à découvrir de toute urgence à la Halle Saint-Pierre […]. L’univers monstrueusement inventif de Murielle Belin. Voilà une curiosité en plein parcours de l’exposition : le calendrier perpétuel de Murielle Belin (née en 1976), soit un polyptyque en bois composé de tableaux amovibles. […] Une œuvre minutieuse constituée de petits formats […] Un univers fantastique parfois morbide (mais d’une stupéfiante beauté). »

      Aurélia Antoni – Beaux-Arts Magazine – mars 2022

       

      « Murielle Belin’s dark-surrealist polyptychs are striking blends of oil painting, sculpture, woodworking, and other disciplines. “Calendrier Perpetual,” in particular, shows the artist’s abilities in taxidermy and building, with different corners of the piece offering surprises.»

      Andy Smith – Hi Fructose – novembre 2019

       

      “ Ces reliques animales sont aussi un subterfuge, un moyen pour les plasticiens de raconter leur propre rapport à la mémoire, à la mort, bref à leur (et notre) condition de bipèdes. D’où le choix de la peintre et sculptrice Murielle Belin de passer par l’hybridation d’oiseaux naturalisés retrouvés dans les vide-greniers. « L’anthropomorphisme et les projections que l’on fait sur ces animaux révèlent notre nature humaine », assure l’artiste nancéenne, dont les chimères à plumes (Sculptures empaillées, 2017), pièces mythologiques d’un « musée d’histoire surnaturelle », sont aussi captivantes qu’effrayantes. […] ”

      Florian Bardou – Libération – novembre 2017

       

      « Les créatures mi-humaines, mi-volatiles de Murielle Belin, femmes-oiseaux ou autres chimères étranges, dialoguent avec les personnages hybrides de Madmeg à l’encre de chine sur parchemin ou la tribu de sculptures d’enfants à masques de lapin de Paul Toupet, des pièces fascinantes et dérangeantes. […] On pourrait en citer bien d’autres encore, tant chacun mérite qu’on s’y attarde. »

      Marie PlantinPariscopemars 2017

       

      “ Quant aux dioramas sous cloches de Murielle Belin et au naturalisme pictural de Martin Wittfooth […], ils titillent savamment notre idée préconçue du beau. “

      Clotilde Gaillard – Timeoutmars 2017

       

      « Envoutante, fascinante, inquiétante et néanmoins séduisante, tellement dense, l’œuvre de Murielle Belin a de quoi laisser pantois. Voilà maintenant une douzaine d’années – seulement pourrait-on dire – que cette jeune (née en 1976) artiste ne cesse de se renouveler en poursuivant sa quête. Aller au plus profond de l’humain, donc la vie et la mort, pour atteindre l’esprit ; interroger le monde à travers ses mythes ancestraux, fondateurs, ses mythologies, invoquer la mémoire collective tel est son propos. Une remise en question, histoire des opposés, du beau et du laid, du morbide et du sain. […] Il y a du Roland Topor chez Belin […]. Athée mais puissamment spirituelle – dans les deux sens du terme – la nancéenne détourne avec malignité l’univers du religieux. Elle perturbe nos sens, et le sens de la vie. En a-t-elle un ? En avant, en arrière, en éternel retour… Plus que dans le motif, le noir qualifie l’humour qu’elle pratique à froid et sans concession. Une ironie délicieusement tranchante d’autant que dans l’œuvre coule une sève poétique douce amère. »

      Patrick Le Fur – critique d’art pour Artensionmars 2015

       

      “ Murielle Belin, une artiste française, est représentée avec une série de tableaux d’une complexité fabuleuse. “

      Nicolas Wildschutz – Woxx (Luxembourg) – février 2015

       

      « […] Mais ces retrouvailles sont prévisibles. D’autres moins : les grandes toiles de Lin Shih-yung et les très petites de Murielle Belin, les reliquaires loufoques de Turf One, les assemblages épineux de Scott Hove et les têtes fantasques de Michel Gouéry, les reliefs d’Eudès Menichetti et les assemblages délirants de Kris Kuksi. Ce sont ces travaux, peu connus, qui font tout l’intérêt de l’exposition. Allez vous y perdre : il serait étonnant que vous n’y trouviez pas une extravagance qui s’accorde à la vôtre. »

      Philippe Dagen – Le Monde, à propos de l’Exposition Hey ! (Halle Saint Pierre – Paris) – 2011

       

      «  […] Et ce qu’elle crée est beau et surprenant, repoussant et fascinant, fallacieux et déraisonnable, original assurément : quelle meilleure définition pourrait-on donner d’une œuvre ? »

      Jeanine Rivais, Critique – février 2008